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Lotus NB

Publié le par Marie Célanie

Fleurs de lotus en noir et blanc. Exercice pas trop mal réussi, je trouveFleurs de lotus en noir et blanc. Exercice pas trop mal réussi, je trouve
Fleurs de lotus en noir et blanc. Exercice pas trop mal réussi, je trouveFleurs de lotus en noir et blanc. Exercice pas trop mal réussi, je trouve

Fleurs de lotus en noir et blanc. Exercice pas trop mal réussi, je trouve

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Black Mamie

Publié le par Marie Célanie

Une déclinaison en noir et blanc à partir d'un portrait "volé" pendant une messe de mariage. La photo date de quelques années déjà , je cherchais à illustrer le thème Noir et Blanc pour la traditionnele expo annuelle des ateliers culturels municipaux. Finalement, cette photo n'a pas été retenue, je vous posterai celle qui fut exposée en suivant.
Une déclinaison en noir et blanc à partir d'un portrait "volé" pendant une messe de mariage. La photo date de quelques années déjà , je cherchais à illustrer le thème Noir et Blanc pour la traditionnele expo annuelle des ateliers culturels municipaux. Finalement, cette photo n'a pas été retenue, je vous posterai celle qui fut exposée en suivant.
Une déclinaison en noir et blanc à partir d'un portrait "volé" pendant une messe de mariage. La photo date de quelques années déjà , je cherchais à illustrer le thème Noir et Blanc pour la traditionnele expo annuelle des ateliers culturels municipaux. Finalement, cette photo n'a pas été retenue, je vous posterai celle qui fut exposée en suivant.
Une déclinaison en noir et blanc à partir d'un portrait "volé" pendant une messe de mariage. La photo date de quelques années déjà , je cherchais à illustrer le thème Noir et Blanc pour la traditionnele expo annuelle des ateliers culturels municipaux. Finalement, cette photo n'a pas été retenue, je vous posterai celle qui fut exposée en suivant.

Une déclinaison en noir et blanc à partir d'un portrait "volé" pendant une messe de mariage. La photo date de quelques années déjà , je cherchais à illustrer le thème Noir et Blanc pour la traditionnele expo annuelle des ateliers culturels municipaux. Finalement, cette photo n'a pas été retenue, je vous posterai celle qui fut exposée en suivant.

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MIGRENIA

Publié le par Marie Célanie

L'homme s'était installé, face à elle, sur le canapé, les jambes écartées, les bras étendus sur le dossier. Parfaitement à l'aise.

Sa présence se faisait de plus en plus dense.

Il parlait, en buvant son café, à petites gorgées. Elle n'entendait déjà plus ce qu'il disait, elle ne percevait plus que ses ponctuations : voâlâ, quoâ, voâlâ, quoâ. koâ. koâ.koâ

La pièce s'obscurcissait, elle le distinguait de moins en moins. Il se perdait dans un halo lumineux, qui gênait sa vue.

Lui parvenait les effluves de son eau de toilette, ni plus forte, ni plus capiteuse qu'une autre. C'était une odeur qui lui donnait la nausée. Y avait-elle déjà prêté attention? Pas moyen de s'en souvenir...

Elle avala, avec difficulté, une gorgée de café, se força à finir sa tasse, en réprimant un haut le cœur.

Elle ne savait plus pourquoi ce type était là, mais il fallait qu'il parte. Le halo scintillait en périphérie de sa vision et elle sentit des spasmes agiter ses paupières. Une pulsion battait à sa tempe. comme si son cœur s'était mis à cogner, là, au-dessus de son oreille, puis juste au-dessus du sourcil droit.

"Ça ne va pas?" "Non, pas très bien. Désolée. On se voit bientôt" Elle bafouillait, la bouche pâteuse en le reconduisant à la porte. Referma derrière lui.

La pulsion frappait maintenant, violemment. Sans répit.

Un vertige la fit vaciller.

La cuisine.

A droite, prendre un comprimé. Le litre d'eau.

La chambre. Fermer les stores. Boire. Boire de l'eau. Les bouchons d'oreille. Eteindre le chauffage. Se déshabiller et se coucher.

Dans le noir.

La douleur régnait maintenant au cœur de la pulsation. il n'y avait plus rien à faire.

Lâcher prise. Lâcher prise. Se noyer dans la douleur et dormir.

Dans le noir.

Elle s'écroula, se roula dans la couette.

Essaya de se laisser aller. Relâcher les muscles. Commencer par les orteils et détendre progressivement les jambes, le ventre, le dos, les bras, les mains, le cou. Si possible.

Ne pas penser. Réfléchir augmentait la douleur. Ne pas penser. Détente. Se fixer sur un objet.

Souffler. Lentement. Inspirer.

Elle sombra enfin dans un sommeil lourd et sans rêves.

Avec un peu de chance, au réveil tout serait fini. Elle resterait groggy toute la journée. Ou elle garderait un fond de mal de tête . Ou la douleur serait encore là, tapie derrière son front, prête à éclater de nouveau. Rien n'est jamais sûr avec la migraine.

©Marie Célanie

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Vue de ma fenêtre

Publié le par Marie Célanie

Un petit rafraîchissement par ces temps de canicule? C'était en mai dernier, il pleuvait, le ciel était  chargé et il ne faisait pas très chaud. ..
Un petit rafraîchissement par ces temps de canicule? C'était en mai dernier, il pleuvait, le ciel était  chargé et il ne faisait pas très chaud. ..
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Sur la route

Publié le par Marie Célanie

Pause photo au milieu des champs de bléPause photo au milieu des champs de bléPause photo au milieu des champs de blé
Pause photo au milieu des champs de bléPause photo au milieu des champs de bléPause photo au milieu des champs de blé

Pause photo au milieu des champs de blé

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